Compagnie Gestuelle / compagnie Lullaby Rencontre d’une chorégraphe hip-hop et d’un chorégraphe contemporain Solo pour une interprète Durée 30 minutes Équipe artistique : Alain Gonotey, chorégraphe Sabine Samba, chorégraphe et danseuse Françoise Libier, création lumière Gervais Rakotaasimbola, photographies Sylvie Laplagne, photographies   La création – Une Situation Imaginaire, Une Audition Comment une situation mettant en scène la compétition technique, esthétique, voire athlétique, peut être transformée, […]

Le Théâtre de la Cruauté est un texte qui prend vie sous l’empreinte de la chair et du mouvement. Le corps de l’acteur et le corps du danseur se confondent au service d’une prose insolente, mystérieuse et jubilatoire. Les références au corps et au mouvement sont vite nombreuses dès que l’on évoque ce texte : mordant, renversant, organique. Notre parti […]

FIVE

La pièce Athlète ? Comédien ? Danseur ? Quoiqu’il en soit, le corps reste le fil rouge de ce témoignage d’un homme blessé. Le corps de l’athlète contenu dans les contraintes et les disciplines. C’est l’usure du plaisir et le temps des disciplines. Ce corps rencontre la poésie, les mots et se construit une aptitude au rêve. Il se sublime, […]

Corps étrangers

  Dans sa nouvelle création, le chorégraphe Alain Gonotey propose un regard humaniste et militant sur la révolte et les questions identitaires (identité gravitaire, typologie gestuelle, mise en jeu du genre dans le mouvement…) Libérer le corps de gestes interdits, refuser une pensée dominante dans un contexte social de surveillance, contester le sacré pour créer une « utopie héroïque ». […]

Calme Blanc / Colère Noire

(Pièce de groupe) Chorégraphe : Alain Gonotey Interprètes : Cindy Villemin/ Géraldine Laurens/ Delphine Maurel/ Fabien Périchon/ Fabien Faucil Corps et Mouvement Des danseurs de genre et de corporéité différents se retrouvent enfermés dans une pièce. L’aspiration à la modernité pour une génération qui est née avec de la danse contemporaine est presque une démarche intellectuelle qu’il faut constamment réinventer. […]