Nous croyons que la réussite du développement du danseur se construit par l’insistance à digérer certains outils de l’organisation posturale et du champ technique, mais encore en l’amenant à éprouver différents modes d’adaptation propres à la mettre en phase avec la contemporanéité de ce qu’il expose dans sa chair et pas seulement dans ses intentions. Ces rencontres avec des artistes contemporains s’adressent à des publics engagés dans une démarche contemporaine mais aussi à des artistes utilisant leurs corps, issus de champs esthétiques aussi différents que le hip hop, le modern jazz, les danses ethniques, le classique, les comédiens, les circassiens, tous désireux d’interroger leurs pratiques.
Teilo Troncy
Teilo Troncy emprunte et s’approprie différents courants esthétiques et disciplinaires, de la danse à la performance, d’où découle une gestuelle souvent théâtralisée. Ses travaux mettent en jeu multiples ambivalences: ils sont à la fois formels et charnels, conceptuels et émotionnels, improvisés et écrits, en représentation mais aussi en emprise réelle avec le moment présent. Son travail en tant que danseur, chorégraphe et pédagogue se nourrit de rencontres et collaborations avec des artistes aux divers horizons tels que Herman Diephuis, David Zambrano, Boris Charmatz, Steve Paxton, La Chèvre Noire, Martin Nachbar, …
Pour chaque session de stage, les journées sont organisées en 3 parties : cours technique, travaux de composition et atelier chorégraphique.
Delphine Maurel
Danseuse interprète et assistante chorégraphique pour la Cie Lullaby, elle travaille aussi avec Cirqu’ulation Locale (BE) et Company O (BE) en parallèle de ses propres créations. Son travail pédagogique est empreint d’un séjour en Belgique où elle vit aujourd’hui, au cours duquel elle rencontra les Cies Ultima Vez, les ballets C de la B, David Zambrano, Les Slovaks, formation qu’elle confronte à celle reçue en France (CNR de Bordeaux et Cie Lullaby). En réveillant le corps dans une conscience et un relâché, l’axe principal pour Delphine Maurel est de développer une physicalité et retrouver des énergies instinctives à l’aide du travail au sol et de la gestion du poids. Sur le temps d’atelier, la recherche se portera sur le compromis entre la réponse à une consigne et l’insertion de la technique développée, en restant vigilant à la particularité de chaque participant.
> Voir la vidéo de restitution du stage de Delphine Maurel et Marielle Morales
Betty Tchomanga
En septembre 2010, Betty Tchomanga organise et participe au Festival Angers&Bamako en tant que responsable du pôle danse. En mars 2012, elle crée -A- ou il a sûrement peur de l’eau, le poisson en collaboration avec le musicien Romain Mercier pour le Festival Des Migrations du CDC de Toulouse. Elle travaille aussi depuis 2009 en tant qu’interprète avec plusieurs chorégraphes tels qu’Emmanuelle Huynh, Alain Buffard, Raphaëlle Delaunay, Fanny de Chaillé et Gaël Sesboüé.
Betty Tchomanga propose un cours / entrainement / échauffement inspiré de différentes pratiques (pilates, yoga, ballet, contact improvisation). Pensé comme une mise en condition physique et mentale, il s’agira pour chacun d’y trouver de la disponibilité, de l’énergie, et du plaisir. Vient ensuite un travail sur la présence comme enjeu d’interprétation, de singularité, de culture, de temps et d’espace.
Auguste Ouédraogo
Chorégraphe de la Cie Auguste-Bienvenue
Il intègre la Troupe Le Bourgeon du Burkina en 1993 où il reçoit jusqu’en 2000 une formation en danse, théâtre, conte et musique. Suite à cette formation de base, il prend part à plusieurs ateliers de danse au Burkina et à l’étranger auprès de chorégraphes de renom comme Christophe CHELLEUX, Robert SEYFRIED, Salia SANOU, Seydou BORO, Opiyo OKACH, Xavier LOT, Angelin PRELJOCA, Benjamin LAMARCHE, Claude BRUMACHON etc.
La compagnie Auguste Bienvenue, créée en 2000 à Ouagadougou (Burkina Faso) par Auguste Ouedraogo et Bienvenue Bazié, vogue entre danse contemporaine et racines africaines. Elle oeuvre également au développement de la création chorégraphique sur le continent africain et s’attache à faire émerger une nouvelle génération d’interprètes féminines au Burkina Faso. La compagnie compte plusieurs pièces qui font l’objet de tournées nationales et internationales, dont Traces, (2007), Tourments Noirs (2009) ou Dans Un S’Y Mettre (2009/2010).
Marielle Morales
« Les cours sont basés sur un travail de sol (foorwork), des mouvements instinctifs et naturels avec l’intention de renforcer la physicalité, les différentes qualités d’un mouvement et la force. L’exploration du corps et du mouvement se fait non seulement à partir de techniques académiques, mais aussi à partir d’une exploration conduite et toujours liée à la danse, de diverses techniques comme la bioénergétique, l’improvisation, le contact-improvisation, le tai-chi, le yoga. Une attention particulière est portée sur le centre, les appuis et la gravité, par le biais d’un matériel énergétique, la fluidité et la respiration dans le mouvement. » Médaillée d’or du Conservatoire de Bordeaux, Marielle Morales poursuit sa formation en contemporain (techniques Graham, Limon, Release, Floorwork, Improvisation et contact-impro, danse expressionniste et énergétique..), en Belgique et en Espagne. Elle danse pour les Cie Pierre Droulers, Fré Werbrouk, Thierry de Mey, à Bruxelles. Marielle Morales chorégraphie pour la Cie Mala Hierba et enseigne aux Danscentrum Jette / Roxane Huilman (Cie ROSAS), High Scool RITS, Charleroi- Danses.
> Voir la vidéo de restitution du stage de Marielle Morales et Delphine Maurel
Antoine Tanguy et Isabelle Grimal Balsa
Antoine Tanguy crée l’association La Clé du Quai en 2010 afin d’explorer les liens entre danse et théâtre. Après une formation initiale en théâtre, il se forma à la danse contemporaine auprès de la Cie Lullaby. Il a dansé pour différents chorégraphes : Laura Scozzy (Opéra de Bordeaux), Eric Arnal Burtschy (festival Artdan-thé, Paris ; festival Antigel, Genève), Philippe Rousseau (festival Nov’Art, Bordeaux), …
Isabelle Grimal Balsa rejoint l’association en 2012. Franco-portugaise, formée à l’Ecole Supérieure de Danse de Lisbonne (Portugal) et au Conservatoire Royal d’Anvers (Belgique), elle regagne la France après avoir dansé au Portugal pour les compagnies Schmetterling et Rituais del Arte, pour présenter sa première pièce solo : Perfection.
Ensemble, ils développent leurs propres projets chorégraphiques et pédagogiques.
> Voir les photos du stage de Mai 2014
Alexandre Sossah
Alexandre Sossah est un danseur issu d’une culture hip-hop contemporaine. Son désir d’ouverture et de rencontre l’amène à s’initier aux différents champs esthétiques, aux multiples entrées qu’offre la danse. Il recherche une vérité d’interprétation à travers l’exploration des matières en mouvement. La danse est aussi pour lui le lieu privilégié pour questionner la quête de l’identité. Depuis son plus jeune âge, le chant et la musique occupent une place essentielle dans sa vie, il interroge leurs places dans sa danse. Quelles influences, quelles matières, quelles sensations peuvent-ils apporter au mouvement, au corps dansant ?
Magali Ray
Après avoir fait 3 ans de gymnastique, j’ai débuté la danse classique à l’âge de 9 ans au Conservatoire de Poitiers. J’ai ensuite poursuivi mes études de danse au Conservatoire de Tours puis au CCN de Roubaix où j’ai découvert la danse contemporaine et les danses de caractères. En 2010, je suis arrivée à Bordeaux pour faire un DUT en animation sociale et socio-culturelle. A la suite de ce DUT, j’ai découvert la formation Lullaby Danza Project et j’ai fait la rencontre du chorégraphe Alain Gonotey. J’ai ensuite intégré la formation (1 an à temps plein et 1 an à temps partiel) où j’ai continué à me former en danse contemporaine, aux autres danses académiques et également aux danses dites “urbaines” qui influencent aujourd’hui fortement ma danse. Grâce à ces différentes formations que j’ai suivies, je peux décrire ma danse aujourd’hui comme une danse “plurielle” qui n’a pas forcément de limites esthétiques…
Marvin Clech
Apres une pratique de 15 ans de judo, Marvin CLECH commence la danse par le Hip Hop. Il découvre ensuite la danse contemporaine et décide de se former à Bordeaux dans la formation professionnelle Lullaby-Danza-Project. Il entame ainsi trois années de formations et se perfectionne en technique classique, contemporaine, hip hop, jazz et moderne jazz. Grace à de nombreux ateliers et masterclass avec notamment Hamid Ben Mahi, Betty Tchomanga, Marielle Morales, Herman Diephuis et Teilo troncy, il améliore sa pratique de l’improvisation en groupe, de performance scénique et de soliste dans sa propre matière.
Ainsi sa danse porte l’empreinte de deux démarches différentes qu’il qualifie de complémentaires.
Une culture urbaine lui offrant un travail autour du mouvement à la fois impactant et brut que fluide et fragmenté. Il s’abandonne à un corps pulsionnel porté par sa relation direct avec la musique initiant alors ses mouvements. Il s’adonne donc au Freestyle avec passion, et développe ainsi sa musicalité pour rendre par le corps les subtilités de la musique. Puis vient un travail autour de la danse contemporaine et de l’interprète contemporain ouvrant alors sa perception et son point de vue sur le monde. Éveillé dès son plus jeune âge à l’écoute et à la culture du corps par le judo, Marvin redécouvre, par le contemporain, le poids de celui-ci et le renversement de l’espace. Il développe son travail d’équipe, la rigueur et la concentration inhérente à l’apprentissage des techniques académiques que l’univers contemporain regroupe. Initié au mouvement authentique, cette technique d’improvisation pulsionnelle viendra bouleverser son corps affectif comme émotionnel pour révéler une forme d’androgynité de son être et viendra nourrir d’un pas de géant, sa propre technique d’improvisation en tant qu’interprète et danseur.
Marie-Laure Gronnier
Danse classique – danseuse interprète
Diplômée d’état, intervenante au CDC de Bordeaux (Cuvier de Feydeau)
« Je souhaite axer mon travail sur la prise de conscience du mouvement et du plaisir qui en résulte dans un cours de danse classique traditionnel. J’aime trouver des synergies entre les disciplines et faire percevoir la satisfaction du geste. Par la dynamique interne du corps et le contrôle des muscles profonds, nous pouvons développer les acquisitions essentielles telles que la verticalité, l’énergie et le contrôle des tensions. L’importance de la part que nous accordons aux sensations dépend de notre vécu et de notre disponibilité. Mon objectif est d’affiner les perceptions et d’aider à comprendre la base du mouvement.»
Clothilde Fagour
Danse classique – danseuse interprète
Diplômée d’état
« La danse classique est selon moi un formidable outil technique, artistique et sensoriel qui nous permet de faire le point sur notre rapport à l’autre, à l’espace et à soi-même. Le corps a des ressources et des capacités bien souvent insoipçonnées, trop souvent limitées, qu’il m’est agréable de découvrir avec les personnes avec lesquelles je travaille et en chacune d’entre elle. Un corps riche, fait d’impasses, de silences, de liens et de musicalité. Un corps rythmé qui, si on prend le temps de l’écouter et de travailler avec lui a des choses à nous apprendre et à nous révéler. Un corps en lien avec l’air, mais qui fussionne avec le solpour pouvoir s’élever et porter de réels fruits. En dehors du simple aspect technique et physique d’un cours, je considère l’espace de celui-ci comme un lieu d’enrichissements et d’échanges humains. Non seulement au travers des échanges verbaux et physiques mais également au travers de l’observation et l’écoute de l’autre»
Julie Oosthoek
Danseuse pour les Cies Lullaby, Robinson, Faizal Zeghoudi, Entresol
Professeur diplômée d’état, enseigne dans diverses structures associatives et publiques (Conservatoire de Bordeaux, CDC Cuvier de Feydeau)
“Mon travail rencontre plusieurs influences de danse contemporaine : contact improvisation mais aussi un travail technique (au sens : définition des codes), release technic-flying low, et un travail plus académique français.
J’axe ma pédagogie sur la notion d’espace, espace dans lequel nous évoluons, espace interpersonnel, espace entre ciel et terre, espace intérieur. Une bonne partie du travail est au sol, ne cherchant pas la perfection du geste mais l’énergie et l’amplitude qui permettra au corps de circuler aisément et rapidement entre le niveau le plus bas et la station debout voire plus. Je ne considère pas la danse comme un art individuel uniquement, c’est pour cette raison que dans mes cours, je fais l’aller-retour entre prise de conscience individuelle et prise de conscience collective.”
Marie COMANDU
Professeur diplômée d’état, enseigne dans diverses
structures associatives et publiques
Chorégraphe au sein du Collectif L&G de l’E.,
Danseuse interprète pour Faizal Zeghoudi
Médaillée d’Or à l’unanimité en danse contemporaine au Conservatoire National de Région de Bordeaux en 1999 où elle a suivi une formation pluridisciplinaire mêlant placement, classique, Modern’Jazz et contemporain, Marie Comandu, danseuse accomplie en toutes disciplines, s’est peu à peu spécialisée en danse contemporaine. Depuis 1996, elle multiplie ainsi les collaborations artistiques en qualité de danseuse-interprète, bien sûr, mais aussi en tant qu’artiste chorégraphe au sein de plusieurs compagnies de danse et compagnies pluridisciplinaires en danse-théâtre, dont certaines de notoriété internationale comme celle de Myriam Dooge ou Faizal Zeghoudi, auprès duquel elle travaille très régulièrement aujourd’hui. Professeur diplômée d’Etat en danse contemporaine, Marie Comandu est, depuis la création de son Collectif en 2015, le Coll. L & G de l’E., une chorégraphe passionnée, dont l’axe de recherche s’attache à l’intention, l’intériorité du geste, l’interprétation juste et claire, la sensibilité, et l’émotivité du mouvement dit « dansé ». Auteure de plusieurs pièces et performances chorégraphiques, elle a collaboré au projet arts numériques et danse « (SYNAB:6 », initié par Frédéric BIANCHI et la Cie Volt (compagnie de danse-voltige). Marie Comandu intervient aussi en tant que membre de jury du Conservatoire des Landes en 2015 et 2017 et membre du jury pour le Baccalauréat option Art-Danse depuis 2018, ainsi qu’au PESMD de BORDEAUX et y occupe le poste de tutrice auprès d’élèves se préparant au Diplôme d’Etat de professeur de danse. En août 2017, elle a eu le plaisir de dispenser auprès des stagiaires du Festival international de danse contemporaine « Trajectoires » organisé à Rabastens. Après avoir repris avec succès le rôle féminin de la pièce « Le Sacre du Printemps » de Faizal Zeghoudi, elle partage désormais son temps entre sa fonction de chorégraphe au sein du Collectif L&G de l’E., d’interprète pour Faizal Zeghoudi (« No land demain ? » « On n’a jamais vu une danseuse étoile noire à l’Opéra de Paris ») et de formatrice auprès de danseurs en devenir, au sein de différents centres de formation.
Lauriane Chamming’s
Chorégraphe de la compagnie Le cr! du p!ed, Directrice du Festival D’ici Danse!
Danseuse pour les Cies Faizal Zeghoudi, Christine Grimaldi, Fabre Sènou, Mutine, Le Manège en chantier (créations enfants) et la Cie du Si (musique vivante et danse)
Professeur diplômée d’état en danse contemporaine mais aussi formée à la danse classique, Jazz et aux arts du cirque, a également suivi une formation en musique et histoire de l’art
Sensible au travail d’improvisation et à la création chorégraphique, sa pédagogie est axée sur l’échange, la curiosité et l’envie. Elle invite le danseur à se questionner sur la présence et l’écoute. Son travail s’appuie alors sur l’importance du regard et sur la conscience de l’espace et du temps. Egalement musicienne, elle cherche une danse musicale, ludique et contrastée pour “s’étonner et partager”.
Clémentine VAILLON
Danseuse dans la compagnie Le Temps d’un Pas
Clémentine a commencé de se trémousser toute petite, puis a fini par tomber dans la marmite de la danse contemporaine. Conquise par ce plongeon, elle perfectionne sa technique en conservatoire, puis décide de suivre une formation professionnelle du danseur interprète ( Cie Lullaby ). Elle termine son cursus par un diplôme d’état de professeur de danse contemporaine.(PESMD, Bordeaux) Elle enseigne à tout type de public, (associations, écoles privée, pré-professionnels…. Parallèlement à son activité de pédagogue, elle danse pour la compagnie Le Temps d’un Pas. Sa danse contemporaine est teintée des multiples influences qu’elle a pu découvrir et explorer, le flying low, le contact improvisation, la danse-théâtre, en passant par le hip hop. Expressivité et fluidité sont ses principaux axes de travail.
Elenie Sarciat
Conservatoire de Bordeaux en danse classique
Membre du collectif No-Ballet
Formation du danseur professionnel Cie Lullaby
Après s’être formée au conservatoire de Bordeaux en danse classique, Elenie s’oriente vers le contemporain grâce à la formation d’Alain Gonotey, le Lullaby Danza Project. Elle est alors touchée par le travail de Cindy Villemin (Compagnie Linga) et développe son goût pour le floorwork avec Marielle Morales. Diplômée d’un Master en sciences politiques, elle a pu voyager en Tunisie, au Maroc et en Russie grâce à ses études tout en y poursuivant son développement artistique. Elle a, entre autre, assisté Syhem Belkhodja aux côtés d’Odile Cougoule et Katto Ribeiro pour la création du spectacle “Les raisons d’espérer” à Tunis. Elle a également donné des cours à l’Université Internationale de Rabat et participé à des rencontres artistiques à Moscou avec Anastasia Sokolova (compagnie Suss) ou encore Tina Breiova (Ferus Animi). De retour à Bordeaux, elle donne des coachings pour la formation professionnelle de Lullaby. Elle poursuit également son entraînement et son développement artistique en prenant les entraînements de la Compagnie Sohrâb Chitan et du Lullaby Danza Project. Depuis quelques années elle fait partie du collectif No Ballet, dirigé par Alain Gonotey, développant ainsi sa présence scénique et son expressivité. Curieuse de différentes esthétiques, Elenie met la relation à l’autre, au jeu ou à la tension, au cœur de son expression se démarquant par une vive explosivité. A l’aise au sol en floorwork par des qualités de poids et de reprises vives de tonicité, elle apprécie avoir la possibilité de traverser de grands espaces librement. Face à sa double identité, Elenie reste fidèle à deux dimensions qui la font vibrer : à la recherche de projets professionnels en danse, elle monte également un projet de Thèse de Doctorat sur les migrations en Méditerranée.
Caroline Bordes
Danseuse dans la cie Infini
Membre du collectif No-Ballet
Emmanuel PIERRE-JOSEPH
Danseur dans la cie Métamorphose