Le projet
– Regroupement de danseurs sur audition, adhésion ou invitation.
– Apprentissage du travail de compagnie entre temps de création et temps mixte de création et formation pour d’autres.
– Repenser la création autrement. Réflexion sur une méthode de recherche. Les danseurs moteurs du projet sont issus de champs esthétiques différents et de relations différentes à la question du corps au centre de la pensée artistique.
– S’approcher de la réalité d’un processus de travail artistique, favoriser les rencontres
– Faciliter une insertion professionnelle
– Développer des laboratoires
Comment j’ai tué Sharon Stone – Festival Bastide en Danse – juin 2013
- Questionnement autour de « l’objet » danse :
- Invitation à la danse ? Danse de mouvement ? D’état ?
- Métissage des techniques, des pensées, du mouvement : une anthropologie des corps et de la société.
- Terminologie sous-jacente à notre pratique, que regroupe l’appellation générale « contemporain », face à l’émergence des danses ethniques, urbaines et autres
- Interroger la relation aux publics et à la représentation
- Qu’est-ce qu’une danse qui n’est pas ethno-centrée ? (regard sur le monde, regards sur les rapports de pouvoir dans un groupe, dans une société).
- Qu’est-ce qu’un danseur ?
- Le plaisir de danser, la nécessité
- Réflexion sur l’économie de la création
- Réflexion sur l’impact de ce travail de réflexion
Comment j’ai tué Sharon Stone – Théâtre du Pont Tournant – Bordeaux mai 2013
Le cadre et moyens
– La formation professionnelle « Lullaby Danza Project » offre des temps de training, des espaces de rencontres pour prolonger la formation de certains.
– Rencontres avec des créateurs : Alain Gonotey, Delphine Maurel, Teilo Troncy, Betty Tchomanga, Mahalia Lassibille
Scènes 2012-2013 en prospection : festival Ravensare, Bastide en Danse, fête de la danse, lieu de performance
Saison 2012-2013
– Travail sur l’altérité autour de la pièce « Noir » d’Alain Gonotey (Cie Lullaby). Thématiques de l’identité, du genre « masculin, féminin, autre »
Plus dure sera la chute (projet 2011-12) – Théâtre du Liburnia – Libourne avril 2012 (voir le diaporama)
Saison 2014
« Comment j’ai tué Sharon Stone 2 » d’Alain Gonotey :
Le territoire que nous exposons est celui de la relation, espace propre à recomposer, de nouvelles manières d’être, en matières, en états, et avec les autres. « Comment j’ai tué Sharon Stone » suppose un contact, la fin de quelque chose et un travail sur le désir et la culpabilité.